Social Commerce, A Vos Marques, Foncez! avec auteur Olivier Laborde (MDF139)

Minter Dialogue avec Olivier Laborde

Olivier Laborde est un fervent du Web3. Il est conseiller, speaker, influenceur, et compère. Il occupe le poste de Chief Marketing, Digital et Innovation Officer dans un grand groupe et il est écrivain et chroniqueur pour Forbes.fr et HBRFrance.fr. S’agissant de son dernier ouvrage, « Social Commerce : Réseaux sociaux, gaming et metaverse : à vos marques, foncez !« , nous discutons des tendances dans la tech, les dernières évolutions dans le social commerce, comment les entreprises devraient s’y prendre, les implications du métavers et la place des jeux vidéos.

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L’homme augmenté est-il un fléau ou une bénédiction ?

Lors de la convention 2023 de l’APM à Nantes, j’ai eu l’occasion de participer dans un débat classique, avec le format de débat de contre-interrogatoire, autrement appelé un débat d’équipe ou débat politique. En tout cas, le concept était de débattre les deux côtés opposés d’un postulat de manière civique et chronométrée, avec un animateur pour assurer le bon suivi des consignes. Face à moi, j’avais mon opposant vigoureux, Vincent Tessier, un autre expert de l’APM. J’ai eu la tâche d’argumenter en faveur du postulat que l’homme augmenté est un fléau. En voici les arguments que j’ai proposés (en deux temps).

En préambule…

En amont de débattre si l’homme augmenté est un fléau ou une bénédiction, il nous incombe de comprendre nos partis pris. Par exemple, avez-vous un point de vue positif ou négatif sur l’intelligence artificielle ? Avez-vous peur de ou êtes-vous excité par les prospects de l’IA ? En deux, voyez-vous l’homme comme étant une machine ou pas ? En substance, une machine est un ensemble de composants interconnectés, agencés pour transmettre ou modifier la force afin d’effectuer un travail utile. A cet égard, on pourrait ainsi considérer l’Homme comme une machine. Ou bien on rejette cette notion. Si vous avez un point de vue positif sur l’IA et vous considérez l’Homme comme étant une machine, dans ce cas, vous aurez du mal à être d’accord avec le postulat du débat. En revanche, si vous tenez la position opposée, c’est particulièrement à vous que j’adresse mes commentaires. Et il y a cinq thématiques qui nous concernent.

1/ La santé

Quand on considère l’homme (bien entendu je parle des hommes et des femmes) augmenté, on va très vite parler des avantages pour la santé. Certes, il y a eu des inventions fantastiques, tel que le pacemaker (le stimulateur cardiaque) ou la pompe d’insuline pour les diabètes, ou encore les prothèses pour les membres manquants. Mais, comme nous pouvons le constater, nous ne sommes pas contentés d’ ‘augmenter’ seulement les problèmes critiques ; nous sommes désormais à la recherche de solutions pour ‘guérir’ la mort, comme si c’était une maladie, et de nous rendre immortel. Sans oublier de parler des solutions pour mesurer et vérifier chaque pas ou effort qu’on fait, nous sommes devenus une société à la quête de la jouvence éternelle et/ou d’un corps plus beau. Avec l’instrumentalisation de notre corps, nous sommes-nous en fait confiants que les incidences à longue durée ou les effets secondaires ne vont pas nuire à notre civilisation ?

2/ La santé mentale

Alors que lié au point précédent, je suis soucieux de l’impact sur notre santé mentale. Avec ces artifices pour améliorer notre vie, comme si on pouvait ou devait éliminer toute malheur, quelle vie aurait-on ? Ne devrait-on pas réfléchir à l’impact potentiel d’utiliser des machines dans nos corps pour nous dédouaner de nos problèmes ? Quid du goût de l’effort ? Comment créer de la résilience sans expérimenter des difficultés ? Par ailleurs, tout comme la chirurgie esthétique ou le tatouage, nous voyons combien vite ces ‘ajustements’ de notre corps peuvent devenir addictifs.

3/ Les risques sécuritaires et notre liberté sont en jeu

Ensuite vient la question sensible de qui est derrière ces instruments ? Combien est-ce que ces machines au sein de notre corps seront autonomes et sécuritaires ? Quel est le modèle de business pour les fabricants et quel serait le rôle éventuel de l’État. Par exemple, est-ce qu’il y aura moyen de contrôler l’instrument depuis l’extérieur, telle une voiture Tesla qui peut être mis-à-jour à distance sans fil. Quel sera le risque qu’un pirate informatique ou un élément maléfique s’infiltre dedans ? Et comment tout ça sera-t-il régulé ? On voit déjà à quel point les régulateurs et les gouvernements à l’ouest ont du mal à rester à jour des actualités technologiques.

4/ La confidentialité

Mis à part l’exemple de l’Estonie (à l’ouest) et en Chine (à l’est), on sait combien les données privées sur notre santé restent un sujet sensible par les populations à l’ouest. Comment assurer que nous resterons propriétaire de notre santé ? Si nous avons un moyen de mesurer notre battement de cœur, le niveau de stress, ou encore notre taux d’hormones, voudrait-on accepter que ces données soient transmises à notre médecin, notre employeur, notre assureur ou encore notre gouvernement ? Je prends l’exemple des systèmes d’assurance qui pénalisent les personnes ayant des conditions pré-existantes. Comment traiter les primes compte tenu de toutes ces données ? Autant dire qu’il serait judicieux d’évaluer le plan éthique avant de se lancer et qu’il devienne trop tard pour marche arrière.

5/ L’éthique

Quand on déploie des outils et mécanismes qui nous permettent d’être plus qu’on est, d’être plus fort, plus beau, plus jeune, la volonté sous-jacente est de défier la nature. Joël de Rosnay a décrié le transhumanisme — une philosophie ou un mouvement qui cherche à renforcer et pérenniser l’homme — comme étant un symptôme d’égoïsme, de narcissisme et encore d’élitisme. Jusqu’où va-t-on ? Qui et comment va-t-on réguler ces augmentations ? Jusqu’où veut-on augmenter nos capacités militaires avec des hommes super-humains ? A quel âge peut-on commencer à s’augmenter (cf le débat sur l’identification du genre) ? Plein de questions éthiques qui mériteraient d’être débattues.

En conclusion

La transformation de l’être humain en homme augmenté présente des soucis et des enjeux que nous sommes loin de maîtriser. Quand on voit les résultats compliqués des personnes ayant passé par un changement de genre, on devrait se poser la question : est-ce que c’est parce qu’on peut qu’on doive le faire ? Par ailleurs, quand on voit les déboires du sud-africain, Oscar Pistorius, et sa prouesse athlétique ayant les deux jambes en utilisant des prothèses, qui devient meurtrier, on saisit combien c’est difficile de tout comprendre dans la tête de l’être humain. Il ne peut négliger l’impact sur notre psyché d’un corps augmenté. La dénaturalisation de notre corps par le biais de puces magiques nous éloigne de notre réalité. Bien entendu il y a des cas d’usage qui sont formidables, mais devrait-on permettre aux personnes d’éditer à la perfection nos gènes ? Quid de la vie naturelle, la douleur, les risques, l’imperfection et la mort ? Ne font-ils pas partis de la condition humaine ? Que ce soit contre le flicage, la surveillance et le contrôle de notre corps ou une reprise de notre humanité, soyons hyper vigilant par rapport au souhait de nous augmenter tous. Comme le dit de Rosnay : prônons d’abord l’hyper-humanisme.

L’analyse des enjeux et opportunités dans le domaine Insurtech, la technologie et les assurances, avec Nelly Brossard (MDF138)

Minter Dialogue avec Nelly Brossard

Nelly Brossard est consultante indépendante dans le secteur de l’assurance et Vice-présidente de Insurtech France une association française des acteurs de l’assurtech. Elle est également partenaire de BlackFin Capital Partners et au board de plusieurs organisations. Nelly est une des grands experts dans le domaine de Insurtech. Dans cette conversation, nous abordons les tendances, opportunités et enjeux dans ce domaine, comment gagner la confiance de la clientèle, la relation entre grands groupes et les startups, et comment gérer son personal branding en ligne efficacement.

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Les Rendez-vous et les Réunions à l’Ère Digital – C’est l’Heure de s’Adapter !

Les nouvelles technologies permettent de faire les réunions beaucoup plus efficacement que par le passé, et pourtant, on ne voit que peu les bénéfices ou l’amélioration en productivité. Un des fléaux en montant une réunion est de trouver le bon créneau disponible pour des participants divers. Dans des environnements tels que MICROSOFT OUTLOOK ou GOOGLE, on peut trouver des applications pour signaler les plages ouvertes pour les employés de la même entreprise. Mais pour des participants extérieurs, il faudrait une application comme DOODLE ou VYTE qui sont agnostiques aux systèmes internes. Pour les plus aventuriers, il existe aussi des systèmes remarquables permettant aux autres de fixer automatiquement un rendez-vous avec vous selon vos disponibilités. Mon outil préféré est x.ai, qui selon mes autorisations, donne à quelqu’un qui veut prendre rendez-vous accès aux créneaux disponible (selon ma préconfiguration).

L’agenda efficace – à l’heure du digital

Outre les règles ‘normales’ de tenir une réunion efficace (par exemple : diffuser suffisamment en amont un ordre du jour précis, ne convier que les participants nécessaires, etc…), la technologie permet aisément la participation à distance. Ainsi, quand il y a des participants distribués, on ne peut plus accepter « le petit quart d’heure » de retard. L’heure c’est la même heure sur tous nos appareils. Si vous faites des réunions avec des participants en ligne, il est fortement conseillé d’insister sur l’utilisation de la vidéo afin d’assurer l’engagement maximal. Lors des réunions, l’usage des mobiles ne peut être accepté que pour un besoin exceptionnel. Sinon, pas de portable visible sur la table ; sonneries en muet ; notifications éteintes. A la fin de chaque réunion, rien de plus simple qu’un récapitulatif digital, partagé avec tous, avec les attributions de tâches pour rendre la responsabilité claire.

Apprendre digitalement

Apprendre le digital et les outils digitaux pour le faire


Le digital est à la fois l’objet à apprendre et le moyen de le faire. Un des dispositifs clés pour aller de l’avant est de réinitialiser une habitude d’apprendre en continu. Ceci demande de revoir ses habitudes et sources de lecture afin d’avoir un mélange plus adapté à ses besoins. Avec les nouveaux outils digitaux, les manières et options de consommer l’information permettent d’apprendre plus que jamais à notre gré. Je conseille fortement d’explorer les podcasts (show radio téléchargeable) qui existent sur tous types de sujets, permettant par exemple d’écouter lors des transports en commun pour se rendre au travail ou bien pendant un jogging. Il y a de plus en plus de podcasts sur des sujets variés. Je préconise pour démarrer:

Faites-moi plaisir et déposer vos podcasts préférés ci-dessous dans les commentaires !

Choisir de nouvelles sources

Sinon, il existe des centres de formation en ligne informels et formels, aussi bien gratuit que payant, tel que TED, MOOC francophone, FUN, COURSERA, UDEMY ou KHAN ACADEMY. Enfin, en termes de lecture en ligne, je préconise l’usage d’applications telles que FLIPBOARD ou FEEDLY qui permettent d’agréger des sources différentes autour de sujets choisis. Sur ces deux outils, il s’agit de sélectionner les sujets et des sources pour personnaliser votre lecture.

Apprendre de nouvelles habitudes

L’important est d’instaurer un nouveau régime et de nouvelles habitudes à apprendre tous les jours ce qui se passe dans le digital, veiller sur la concurrence et pour mieux vous munir pour l’avenir.

Apprendre en continu

Être acteur du digital se cultive quotidiennement. Beaucoup de personnes sont submergés par le nombre de communications à suivre, sur les applications, plateformes et équipements divers à notre disposition. Ne pas suivre ses communications pourrait avoir des conséquences néfastes pour le business, pour ne pas oublier la famille – et pour sa propre santé. Pour arriver à les maîtriser, il est question d’expérimenter constamment, de tester les applications, quitte à se faire cobaye parfois. C’est le dispositif d’un apprenant en continu. On y trébuchera certainement. Ce n’est pas pour rien que l’échec rime avec high-tech. Mais on y gagnera à la longue.

Une nouvelle façon de recruter avec YourTOD, une plateforme de recrutement basée sur les valeurs avec Gaëlle Monteiller (MDF93)

Podcast Minter Dialogue avec Gaëlle Monteiller

Gaëlle Monteiller s’est convertie en entrepreneur après un parcours puissant et très réussi dans des grands groupes, tels Lafarge et PSA. Gaelle est co-auteur de Happy Management aux éditions Dunod et est désormais co-fondatrice de YourTOD, une nouvelle plateforme disruptive pour le recrutement, où les candidats et entreprises font le match d’une toute autre manière que d’habitude. Dans cet entretien nous parlons bien sûr de YourTOD, mais aussi comment les entreprises doivent s’adapter pour mieux recruter, garder et motiver ses employés.

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Le Digital — Il Faut Etre Acteur Pour Transformer Votre Organisation

victime du digitalIl est facile de devenir victime du digital – l’avalanche des nouvelles technologies, applications et dispositifs numériques peuvent nous dépasser rapidement. Il est ainsi essentiel de devenir acteur et être digital pour mieux les apprivoiser et trouver son bonheur.

Être acteur du digital se cultive quotidiennement. Beaucoup de personnes sont submergées par le nombre de communications à suivre, sur les applications, plateformes et équipements divers à notre disposition. Ne pas suivre ses communications pourrait avoir des conséquences néfastes pour le business, pour ne pas oublier la famille – et pour sa propre santé. Pour arriver à les maîtriser, il est question d’expérimenter constamment, de tester les applications, quitte à se faire cobaye parfois. C’est le dispositif d’un apprenant en continu. On y trébuchera certainement. Ce n’est pas pour rien que l’échec rime avec high-tech. Mais on y gagnera à la longue.

Et vous? Vous aimez être acteur digital ?

Beaugrenelle Paris: Un Centre Digitalisé et Les Manières Qui Fâchent

Je suis allé découvrir le centre d’achat, dit « état de l’art » en matière d’expérience beaugrenelle by Claudius Dorenrof (FLICKR CC)shopping, le Centre Beaugrenelle dans le 15è à Paris.Sur leur site, ils proclament être « le centre commercial du 21e siècle ». J’imaginais une expérience poussée sur le digital. Alors que l’environnement est éclairé, agréable avec une bonne selection de boutiques, le bilan « digital » n’est pas très flatteur (2 sur 10). 

De quoi s’agit le côté digital du centre? J’ai trouvé quatres choses principalement:

  1. Des bornes / écrans qui expliquent le centre avec des indications au toucher.  
  2. Une application mobile dédiée (Android/iOS). 
  3. Un wifi gratuit. 
  4. Le magasin « phare » de Darty qui est un ‘concept store.’

Bornes: Avec l’écran tactile, j’ai eu des renseignements précis mais tout à fait ordinaire. Le toucher est comme d’habitude, pas toujours fiable. Au mieux, il y avait des codes QR. Continuer la lecture

Adobe Summit 2015 : Entre techno et « human API »

En avril, j’ai été invité de parler au Adobe Summit EMEA 2015 à Londres. Ma présentation de 20 minutes, intitulée, New Trends for 2015 (en anglais), est disponible ici. Cette présentation est basée sur le travail de l’Observatoire Netexplo, avec lequel je suis associé et pour lequel je m’occupe des partenaires medias internationaux.

A cette occasion, j’ai été interviewé par Marion Moreau de FrenchWeb (maintenant chez Sigfox), où j’ai parlé des tendances dans le contexte du Adobe Summit et, ce que mon ami, Brian Solis (Altimeter), appelle le human API. Les thématiques fortes de cette conférence étaient : le mobile, le contenu et la brand expérience. Dans cette émission sur FrenchWeb y figure également Pierre Casanova (DG d’Adobe France).

Ma partie commence à 5″31.


Adobe Summit: entre techno et Human API par frenchweb

Influence marketing et l’influence sur les marques en ligne – Que devrait-on en faire?

Influence marketing reste un domaine encore un peu flou pour beaucoup de dirigeants, mais ça continue à se développer. La semaine dernière Alban Jarry a publié, sur son blog, un tableau dans lequel figurait les top 10 influents pour 10 marques en France. Comme Alban précise, ces marques ont été « [s]électionnées à partir d’une liste publiée par LinkedIn en juin 2015, qui recense les 10 marques les plus influentes dans cet outil de communication professionnelle. » Ces marques comprennent: LVMH, L’Oreal, Orange, Renault, Axa, Total, Capgemini, Facebook, Twitter et bien sûr, Linkedin.

Chaque marque s’est vue dotée des top 10 influents utilisant l’outil Traackr. Il est à noter que ce classement change en temps réel et qu’il est issu de 3 éléments:

  • Reach mesure la taille de l’audience de l’influent.
  • Resonance mesure l’engagement de l’influent avec sa communauté en ligne.
  • Relevance mesure combien l’influent est pertinent sur le sujet. (Indice par lequel le tableau est ordonné).

Au total, parmi les 100 influents listés, il y a beaucoup de noms reconnus. Par ailleurs, il y a plusieurs personnes qui figurent deux fois, dont Eric Delcroix, Cyril Bladier, Aurelie Coudouel, Viviane Neiter et Alban, lui-même. Pour ma part, j’ai eu la chance d’être cité pour la marque LVMH (voir ci-dessous) — mais il convient de souligner que ces influents sont identifiés pour un moment donné et qu’il ne s’agit que de l’influence en ligne.

LVMH Influence

Parmi les 100 influents dans l’étude d’Alban, on peut aussi noter, avec ironie, que seulement une personne n’a pas de compte Twitter — et elle est la 2e plus influente sur Twitter! Apparement, son compte est actuellement suspendu.

Influence marketing – 6 actions à recommander

Si j’étais une marque, que ferais-je avec ces informations ? J’ai une liste de 6 actions à recommander:

  1. D’abord, vérifier si / comment l’influence est mesurée chez soi.
  2. Etudier (pour bien comprendre) les mécanismes de cet outil de mesure.
  3. Vérifier si les personnes citées sont listées chez (a) les RP, (b) la Community Manager et (c) le service à la clientèle.
  4. Est-ce qu’il y a des membres de son agence de Communication qui y figure et, si non, pourquoi pas ?
  5. Vérifier combien de ses propres employés sont susceptibles d’y figurer (pour les encourager) – ici j’ai reperé la présence de @CLandomiel pour Orange, par exemple.
  6. Vérifier la strategie du Groupe vis-à-vis influence marketing.

Le marketing de l’influence est un domaine en plein essor. Quoiqu’on en dise sur le concept de l’influence, je suis persuadé que les marques qui travaillent astucement avec les influents vont petit à petit prendre du terrain…

Vos réactions?

Par ailleurs, si vous voulez en savoir plus sur Traackr, j’ai tourné un entretien podcast avec Nicolas Chabot, en charge de EMEA.